L’amour de Dieu qui doit brûler sur l’autel de notre cœur, et dont chaque chrétien doit être le prêtre, comment ne s’éteindrait-il pas dans des lieux où tous les sens sont saisis par l’attrait de la volupté ?
L’amour de Dieu qui doit brûler sur l’autel de notre cœur, et dont chaque chrétien doit être le prêtre, comment ne s’éteindrait-il pas dans des lieux où tous les sens sont saisis par l’attrait de la volupté ?