Une foule de plaisirs voloit autour d’elle ; tout en elle respiroit la volupté, c’étoit la volupté elle-même. […] Ainsi me parloit la volupté. […] Garde toi, me dit-elle, d’écouter jamais la voix enchanteresse de la volupté, elle n’a que des faux plaisirs, elle exerce une cruelle tyrannie ; c’est en moi seule que tu trouveras le véritable bonheur. […] A-t-elle de si fortes armes que la volupté ?