Representez-vous donc, Messieurs, la Volupté assise sur un Trône de gazon, couronnée de roses naissantes, tenant sa lyre d’une main, & une coupe emmiellée de l’autre. […] La Volupté semble leur tenir ce langage, « Cueillez les fleurs du Printems : ornez-en vos têtes : n’attendez pas qu’elles se fanent : ne portez point des yeux inquiets sur l’avenir ; joüissez du présent. […] En vérité, Messieurs, que penseriez-vous d’une pareille Ecole où présideroit la Volupté ?