Son penchant dominant étoit plus la volupté que l’ambition, comme il le dit au commencement de son poëme de l’Art d’aimer. […] Il parcourt tous les âges, toutes les saisons, tous e genres de graces & de beautés, pour enseigner, recueillir sur toutes les fleurs, comme l’abeille, le miel de la volupté, ou plutôt le poison du vice.