Cette idée dans une Danseuse de théatre a besoin d’explication, c’est à-dire, qu’elle étoit plus posée, plus sérieuse, moins composée que les autres ; car pour les nudités, le fard, les regards tascifs, la voix licentieuse, les airs voluptueux, les gestes impudiques, la peinture la plus vive des passions, elle n’imaginoit pas que tout cela fût contraire à la décence.