Je dis que c’est la belle Astrée Qui visite notre contrée, Laissant le ciel veuf de ses yeux : Mais j’entends la voix d’un Oracle Qui dit, c’est un autre miracle Pour trouver en terre les Cieux. […] Puis laissant la Mathématique, Pour repos tu prends la Musique, Et redonnant la vie aux Airs, Aussitôt que tu t’y récrée, Le ton de ta voix ensucrée Met les Sirènes dans les Airs.