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20. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Dix-Huitième Lettre. De madame D’Alzan. » pp. 287-295

J’ai prêté ma voix à la triste Ariane : Même succès : bien plus : deux Amans ont osé parler hier, & m’écrire ce matin : l’un est un Pair… l’autre… je n’ose dire ce qu’il est. […] Votre fille, que Mademoiselle *** caressait, ne m’avait pas encore aperçue ; le son de ma voix la frappe ; elle se dégage, & vient à moi, en me donnant tous ces noms charmans que nous lui avons appris. […] a-t-il dit enfin d’une voix étouffée, mon Ursule, ma divinité… vous… vous… Non, je ne mérite pas… Mes transports… ô mon amie… qui l’eût pensé… ah !

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