Si j’ai pris soin de lui, si je l’ai laissé vivre… Je ne l’ai conservé que pour ce parricide. […] Vous vivez dans Brutus, vous mettez dans mon sein Tout l’honneur qu’un Tyran ravit au nom Romain. […] « Vivrons-nous sans servir Alzire et sa patrie, Sans ôter à Gusman sa détestable vie ?