Autrefois depuis le château du Gentilhomme jusqu’à la cabane du Berger, depuis l’hôtel du Seigneur jusqu’à la boutique de l’Artisan, on ne voyoit chez les Catholiques que des imgaes de dévotion ; on en voyoit au coin des rues, aux portes des villes. […] C’est ce qui mettoit les courtisannes tant en honneur dans les villes Grecques, honneur bien assorti à leur Réligion & à leurs mœurs.