La parure est la vie d’une actrice, son premier rôle, & celui qu’elle étudie, qu’elle exerce avec plus de soin, sur lequel elle est le plus sévérement examinée. […] Pour empêcher les pieds de croître, les Chinoises les portent serrés toute leur vie. […] La Beaumelle, dans la vie de Madame de Maintenon, lui donne des jarretieres qui ne se nouoient pas, & ne faisoient pas plusieurs tours, mais étoient garnies de coulans, pour les arrêter où l’on vouloit, sans faire aucun pli à la peau, pour la conserver bien unie, comme ce Sibarite qui ne pouvoit dormir sur un lit de rose, parce qu’une feuille étoit pliée.