Peut-être me direz-vous qu’il était mieux instruit que je ne pense et qu’il peut avoir appris la vie de Molière par une confession générale. […] Mais enfin, soit qu’il sache la vie de Molière, soit qu’il croie la deviner, soit qu’il s’attache à de fausses apparences, ses avis ne partent point d’un frère en Dieu, qui doit cacher les fautes de son prochain à tout le monde et ne les découvrir qu’au pécheur.