La jeunesse est impressionnable, et les premières sensations s’effacent difficilement ; ne lui en donnez que de vertueuses, afin qu’elle les retrouve dans l’âge mûr. […] Des monstres, et des actions atroces qui nous peignent les mœurs du bagne et l’audace des brigands, sans qu’un seul personnage vertueux vienne partager l’intérêt du public, et en rendant le vice odieux rehausser l’éclat des vertus. […] Lorsque Voltaire voulut peindre les fureurs du fanatisme, il plaça le vertueux Zopire à côté de Mahomet.