une vertu rigide est à peine un bouclier qui les pare ; comment les repousser quand on s’y livre ? […] Quelle vertu chrétienne ose s’y montrer ? […] Voici le comble de ses vertus. […] Voilà donc les vertus du théatre, voilà les sermons du Mercure. […] C’est un quadre où il enchasse un nom, mais où il n’enchasse jamais la vertu.