Porée dans ses pièces, était de corriger les mœurs et d’inspirer la vertu. […] Le Plaisir forme la Jeunesse aux vraies vertus, aux vertus propres de la Religion. […] le théâtre deviendrait l’école des vertus chrétiennes ? […] Il y a bien de l’apparence que l’Auteur de cette pièce, le Recteur et le collège nombreux qui la fit représenter, avaient de bonnes intentions, qu’ils voulaient faire aimer la vertu à la jeunesse, en l’unissant avec le plaisir. Si l’on n’entend que la douceur intérieure de la charité, la paix de la conscience, l’onction de la grâce, l’espérance de l’éternité, la vertu est délicieuse.