/ 526
12. (1765) Réflexions sur le théâtre, vol. 3 « Chapitre VIII. Assertions du Théâtre sur le tyrannicide. » pp. 130-174

Voilà la vérité et la vertu. […] Le langage des Dieux est fait pour chanter les vertus, et non les forfaits. […] le vice fait-il moins d’impression que la vertu ? […] Ce n’est dans les deux partis qu’un tissu de fureur sans aucun adoucissement de vertu. […] Pourrait-on en effet justifier l’école du vice qu’aux dépens de la vertu ?

/ 526