Je suis donc entièrement de l’avis du journaliste que je viens de citer. […] Et l’écrivain éhonté que je viens de citer, ose le présenter comme l’ami des jésuites ! […] Cette manière de penser et d’agir est précisément l’opinion de la théocratie et par conséquent des jésuites, ainsi que nous venons de le dire. […] On sent que les exemples ne manqueraient pas pour venir à l’appui de ce que je viens de dire. […] D’autres calculs portent à quatorze cent mille hommes, le nombre des soldats morts sous les drapeaux de Napoléon, pendant l’espace de seize mois, vers la même époque dont nous venons de parler, et on évalue enfin à plus de cinq millions de Français le nombre des militaires qui périrent pendant les onze années du règne de Bonaparte.