: « Donc si toutes les choses sont introduites dans les Spectacles par les Démons, s'ils sont faits pour eux, et si tous les ornements y viennent d'eux, ils sont assurément de ces pompes des Démons, auxquelles nous avons renoncé, sans qu'il nous soit libre d'y participer, ni par les actions ni par les regards. […] Mais sans nous en mêler davantage, l'Orchestre et le Cirque sont maintenant déserts, et tous viennent ici pour chanter les louanges de Dieu. » Les Conciles ont « Scenicis atque histrionibus cæterisque hujusmodi personis vel Apostaticis reversis gratia non negetur. » Concil. […] D'où vient que vous Idem in Psal. 118. hom. 18. […] D'où vient que le mot Hébreu Bethaven, est différemment interprété, « Maison d'Idole, de Vanité ou de Néant ». […] Dans les Spectacles on devient en quelque façon Apostat, c'est une prévarication mortelle contre le Symbole et les Sacrements du Ciel ; Ce sont les ouvrages du Diable, auxquels nous avons renoncé, et celui-là retourne à lui qui les vient voir, il n'y rencontre pas le divertissement, mais la mort.