Mais toute cette troupe qui le rendit ridicule ne parut pas sur le Théâtre, et ne servit qu’à le divertir en particulier avec ses amis qui ne valaient pas mieux que lui. […] Que si le Chrétien, négligeant de faire ces choses, demeure dans une oisiveté, ou bien ce qui est encore pire, si au lieu de s’occuper à quelque chose d’utile et d’honnête, il passe son temps dans les vanités et le folies du siècle, certainement il vaudrait mieux qu’il travaillât des mains. […] Il pourra pourtant arriver qu’une fille pour obéir à sa mère, et une femme pour complaire à son mari, sera contrainte d’aller au bal ou à la Comédie ; et voici pour lors ce que le saint Prélat leur prescrit : « Je dis des danses, ce que les Médecins disent des Potirons et des Champignons, les meilleurs n’en valent rien... […] Il faut que les présents des impies soient plutôt la proie des flammes, que la nourriture des gens de bien. » Dans un autre endroit : « lorsque les Eglises se trouvent dans une extrême nécessité, il vaut mieux périr que de recevoir quelque chose de la main des ennemis de Dieu : « Quod si adeò egebunt Ecclesia præstat perire quàm ab inimicis Dei aliquid capere.