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87. (1804) De l’influence du théâtre « DE L’INFLUENCE DE LA CHAIRE, DU THEATRE ET DU BARREAU, DANS LA SOCIETE CIVILE, » pp. 1-167

Philosophes du jour, âmes superbes et vaines ! […] Ne nous abusons pas par de vaines idées de perfection : trop d’austérité dans les principes peut avoir son danger ; l’histoire elle-même en fait foi. […] Mais en méprisant une vaine gloire, l’orateur du barreau marche avec intrépidité vers le bien public. Que lui importe que la société lui prodigue ou lui refuse de vains applaudissements ? […] D’une éloquence vaine il dédaignait les fleurs : Il n’avait que des cris, des sanglots et des pleurs.

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