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279. (1760) Sur l’atrocité des paradoxes « Sur l’atrocité des paradoxes —  J.J.L.B. CITOYEN DE MARSEILLE, A SON AMI, Sur l’atrocité des Paradoxes du Contemptible J.J. Rousseau. » pp. 1-128

pour moi, je l’ai toujours regardé comme un dogue à l’attache, insultant aux passans, qui, d’un œil de pitié, regardent les vains efforts qu’il fait pour rompre sa chaîne. […] » Pour lui prouver que cette école n’est pas si dangéreuse, il faut que je lui cite ce que dit l’Abbé d’Aubignac dans son Traité de la Pratique du Théâtre, t. 1, p. 3 ; « il ne faut pas qu’on s’imagine que les Spectacles ne puissent donner qu’une splendeur vaine & inutile.

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