Le véritable honneur m’attire bien moins sur ses pas que la passion des femmes et la soif des richesses40. » Sénèque, dans une de ses épîtres, regarde l’amphithéâtre comme l’asile de l’oisiveté.
Le véritable honneur m’attire bien moins sur ses pas que la passion des femmes et la soif des richesses40. » Sénèque, dans une de ses épîtres, regarde l’amphithéâtre comme l’asile de l’oisiveté.