Mon véritable sentiment serait donc que l’on imitât, en cela, les Anciens qui ont diversifié la Comédie, en l’accommodant au temps, aux mœurs et au goût des Spectateurs. […] Et qui est-ce donc qui ne sent pas la force et l’utilité d’une pareille Comédie, dans laquelle un vicieux, par fiction, en instruirait plus d’un véritable ?