Pour concilier, s’il était possible, la passion et la loi, il faut ériger la passion en vertu, et faire disparaître les vertus véritables, pour laisser sur l’autel la seule idole du plaisir. […] La galanterie n’est pas la seule science qu’on apprend à son école, on y apprend aussi les maximes ordinaires du libertinage contre les sentiments véritables de la religion. […] Mais la religion souffre de ces sottises : en se familiarisant avec l’impiété même Païenne, on s’apprivoise bientôt avec le mépris de la religion et du Dieu véritable.