Et il manifesta son respect pour la vérité dans le compte qu’il rendit des Ecrits où l’on soutenoit la bonne cause. […] Sa Tragédie de Judith fut à la vérité applaudie pendant un Carême. […] Quel fonds de vérité ! […] Les choses sérieuses leur paroîtroient froides, & les vérités fortes les écraseroient ». […] Voilà les vérités qui furent dites dans la séance publique de l’Académie Françoise, du 4 Août 1774, par M.