Elles ont leurs fêtes, nos saintes Nones, qui à la vérité ne sont pas dans le calendrier de l’Eglise, ni dans celui du vieillard de la Fontaine, mais qui n’en sont pas moins dévotement solemnisées. […] Une ame aussi sensible que la sienne ne pouvoit être foiblement touchée ; le sentiment de Dieu le plus profond, la conviction la plus intime des vérités éternelles, la possédoient entierement.