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135. (1665) Lettre sur les observations d’une comédie du sieur Molière intitulée Le Festin de Pierre « [Lettre] » pp. 4-32

Quelques injures que l’on puisse dire à un innocent, on craint de le défendre lorsque la religion y est mêlée : l’imposteur est toujours à couvert sous ce voile, l’innocent toujours opprimé et la vérité toujours cachée. […] Molière doit toutefois se consoler, puisque l’observateur avance des choses qu’il ne peut savoir, et qu’en péchant contre la vérité, il se fait tort à lui-même et ne peut nuire à personne. […] Ce n’est point un conte, c’est une vérité manifeste et connue de bien des gens.

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