La Tragédie est-elle utile ? […] Il n’y a pas lieu de douter cependant qu’il n’ait été persuadé que l’utile doit toujours être joint à l’agréable. […] Ils sentirent dans la suite la nécessité de se rendre utiles. […] Un Précepteur n’en apprend que d’utiles aux enfans, & un Poëte est le Précepteur des hommes. […] Il ne leur suffit pas de mêler l’utile à l’agréable ; ils doivent faire en sorte que dans leurs Piéces l’utile soit le fondement de l’agréable.