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71. (1770) La Mimographe, ou Idées d’une honnête-femme pour la réformation du théâtre national « La Mimographe, ou Le Théâtre réformé. — [Première partie.] — Huitième Lettre. De la même. » pp. 100-232

La plupart des Auteurs ont fait du monologue un usage ridicule : Montfleury, dans une de ses Pièces (le Gentilhomme de Beauce) régale le Spectateur d’un froid soliloque de trois pages, en deux scènes. […] La douzième est souvent dangereuse ; je proposerais presque de la rejeter tout-à-fait, & de la réserver pour l’usage déterminé par l’ Art.  […] On pourrait en conclure que l’usage des maximes est naturel & dans la plus grande vraisemblance. […] Cet usage subsiste encore à Naples. […] Ceci répond à l’objection qu’on n’aurait pas manqué de faire, que nos Acteurs-citoyens ayant moins d’usage, que les Comédiens de profession, ne joueront pas aussi-bien qu’eux.

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