comme une chose de soi indifférente, qui n’est ni bonne ni mauvaise, doit être condamnée dans son usage et avec ses circonstances. […] Mais elle n’a pas cette indifférence dans son usage, et lorsqu’on la considère avec les circonstances qui l’accompagnent ordinairement. […] Jamais les Pères et les Conciles ne sont demeurés d’accord que les Comédies fussent permises, ou que l’usage en fût quelquefois licite. […] Ce qui marque la vérité de la proposition avancée, que la Comédie moralement parlant et dans son usage ordinaire, est mauvaise ; ce qui fait que jusqu’à présent on l’a toujours défendue aux fidèles. […] En tout cas, s’il y avait quelque chose contre l’honnêteté dans ces exercices publics qui se font dans les Collèges, on en devrait blâmer l’usage, comme celui des Comédies.