Cet Abbé remarque qu’il y avait peu de divertissements qui fussent à l’usage des Chrétiens, et qu’ils fuyaient tous les Spectacles publics, soit du Théâtre, ou de l’Amphithéâtre, ou du Cirque. […] Cependant au lieu d’en faire cet usage, nous les profanons en des paroles et des actions toutes vaines et superflues, et même mauvaises et dangereuses.