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144. (1667) Traité de la comédie « Traité de la comédie — X.  » pp. 464-465

Et comme il est leur souverain bien, il ne veut pas qu'ils s'attachent ailleurs, ni qu'ils trouvent leur repos dans aucune autre créature, parce que nulle créature n'est leur fin. […] C'est pourquoi quelque honnêteté qu'on se puisse imaginer dans l'amour d'une créature mortelle, cet amour est toujours vicieux et illégitime, lorsqu'il ne naît pas de l'amour de Dieu ; et il n'en peut naître lorsque c'est un amour de passion et d'attache, qui nous fait trouver notre joie et notre plaisir dans cette créature.

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