Car s’il est d’inutiles Machines, qui soient ou embarrassantes ou superfluës ; qui n’aident qu’à la representation, & non pas au Jeu ; qui ne servent que de nombre ; qui ne facent qu’alonger les files, ou que grossir la troupe : Le tout n’est qu’une phantaisie de Violon, & qu’une extravagance de Poëte, & n’est non plus un Carosel qu’une Mascarade, & tient aussi peu de l’un & de l’autre, que la Guitare du Luth, & qu’un Cheval d’un Dromadere. Vn parfait Carosel comprend un dessein amoureux & guerrier, & fait porter ses Troupes, marcher ses Chars, & eslever ses Machines, avec une continuelle relation à son Jeu & à son dessein.