Elles voient les mères de Théâtre en faire autant, elles ne voient pas les filles en faire mieux ; au contraire elles voient tous leurs projets réussir, et leur industrie tromper les soins et la vigilance des personnes chargées de leur conduite. […] On ajoute que la réputation malheureuse qu’elles ont de n’être pas cruelles, nourrit les desseins que leurs charmes font naître ; on se laisse volontiers aller à des espérances qui ont rarement été trompées.