Car il suppose que les Comédies d’aujourd’hui sont dans un état de pure nature, et dépouillées de toute mauvaise circonstance ; ce qui n’est point du tout vrai, et en quoi il se trompe beaucoup. Mais il ne se trompe pas moins lourdement, en ce qu’il veut que les Pères aient été de son opinion, et qu’ils aient approuvé la Comédie dans l’état où elle lui paraît indifférente. […] Mais c’est peut-être qu’il s’est aperçu que la Cour toute seule n’était pas compétente pour juger d’un fait de Religion, et en cela il ne s’est pas trompé : Mais à cela près, examinons les principes d’où il tire sa conclusion.