La justice due à un tel Auteur, ce serait de le brûler : ou pour le moins, la pudeur, si je ne me trompe, est préférable à l’exacte ressemblance, lorsqu’on entreprend de le traduire. […] ne nous y trompons pas, on ne se moque point de Dieu.
La justice due à un tel Auteur, ce serait de le brûler : ou pour le moins, la pudeur, si je ne me trompe, est préférable à l’exacte ressemblance, lorsqu’on entreprend de le traduire. […] ne nous y trompons pas, on ne se moque point de Dieu.