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180. (1790) Sur la liberté du théatre pp. 3-42

Je conviens que, si l’on trouvoit un moyen de forcer tous les paresseux d’un empire à travailler, il s’enrichiroit du produit de leur travail et de leur industrie, et que la misere y seroit moins grande. […] Puisqu’il n’est pas de moyens de forcer la paresse au travail, il ne faut donc pas fermer les spectacles au peuple ; tâcher qu’ils deviennent pour lui, sans qu’il s’en apperçoive, un lieu d’instruction publique ; c’est la seule maniere de les rendre utiles, au lieu d’être dangereux.

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