Il y a des délassements nécessaires au corps et à l’esprit, quand l’un et l’autre ont été affaiblis par le travail, et il ne faut que savoir quelle est notre condition depuis le péché, pour sentir le besoin que nous avons de ce secours. […] Ceux mêmes dont le travail n’a rien de sérieux ont-ils besoin de délassements, avec une vie qui est un délassement continuel ? Ceux qui sont occupés à des travaux corporels ont-ils besoin d’autres délassements que la cessation de ces mêmes travaux ?