Sénèque, qui rapporte avec éloge des traits de Publius Sirus, ne l’est pas moins. […] Un homme sage va-t-il dans des lieux où l’on ne peut s’empêcher de boire à longs traits un poison violent ? […] Encore même, s’ils sont tournés ingénieusement, ces traits obtiennent-ils grace. […] En voici quelques traits. […] L’idée est téméraire, le trait impie, n’importe, le vers est heureux, on ne peut se résoudre à le sacrifier.