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105. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

Enfin une foule de traits piquants et de satires outrées contre les Médecins, que Molière, comme l’on sait, drappoite moins par raison que par faiblesse. […] Pour quelques traits de morale inutile, combien de maximes affreuses ? […] Chaque rôle fournit naturellement des traits plaisants ; et l’on peut dire qu’ils sont maniés avec adresse. […] Jérôme, M.F. se fonde sur ce que ce saint Docteur a dit dans une de ses épîtres, qu’il faisait ses délices de la lecture de Térence, et qu’il a encore adopté plusieurs traits des Comédies de Turpilius. […] Il en est de même des traits de Turpilius qu’il aura employés ; il peut s’être trouvé dans les Pièces de ce Poète des expressions heureuses, qui pouvaient trouver place ailleurs sans conséquence : saint Jérôme s’en sera servi.

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