Le savant Prélat quia rendu de si grands services à l’Église, à l’État, en a rendu un très-grand par son Traité contre la Comédie. […] Son Traité ne lui auroit-il pas donné l’exclusion ? […] De là il passe à la comédie, dont il propose à l’Académie de faire un traité, examine les beautés, les défauts de Terence, Aristophane, Moliere, &c. […] Sans doute il l’est si bien, que ses farces sont un traité complet de philosophie morale, & de la plus saine. […] C’est la chimère du siecle, on n’est jamais bien loué qu’on ne soit traité de Philosophe.