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254. (1752) Essai sur la comédie nouvelle « ESSAI SUR LA COMEDIE MODERNE. » pp. 1-160

Il fait voir que les anciens Tragiques ne connaissaient point cette passion, et que leur Théâtre ne se soutenait que mieux sans elle ; qu’Eschyle ne l’a jamais mise sur le sien ; que Sophocle ne l’y a admise qu’une fois, et Euripide deux fois, et encore avec de grands égards, beaucoup de discrétion et de bienséance.

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