On peut voir le détail de sa conversion, ses regrets, sa pénitence, ses soins pour supprimer ses tragédies, pour en inspirer l’horreur à ses enfans. […] Ce qui a fourni la matiere de plusieurs tragédies, bonnes ou mauvaises, & qui traitent avec raison de tiran & de monstre, ce même Prince que leurs Préfaces appellent grand, & à qui la protection éclatante qu’il a accordé au théatre, devroit procurer quelque ménagement de la part des poëtes tragiques. […] Tel fut le dénouement de cette brillante tragédie.