Une fille raisonnable, fervente, qui est entrée de bonne foi dans un saint état, dont elle a goûté la douceur, peut-elle se laisser ébranler, ou plutôt bouleverser dans l’instant par des portraits affreux dont elle connoît la fausseté par expérience, faits par une malheureuse que la vue d’une mort présente ne peut toucher ?