Un homme déjà formé, chez qui toutes les passions ont pris le degré d’empire que la négligence de ses parents, ses mauvaises dispositions, les défauts de son éducation leur ont laissé prendre, ne sera pas plus touché de la Morale de nos pièces de Théâtre, que des principes sacrés développés dans une harangue Apostolique : ce sera cependant toujours un grand bien, comme je l’ai prouvé dans ma lettre à Mr. […] Ces deux qualités se touchent de si près qu’un Docteur de l’Eglise s’écriait que toutefois qu’il lisait la vie de Socrates, il était prêt à s’écrier : O saint Socrate !