Toutes ces fictions poétiques ne les touchent qu’en tant qu’ils sont moins guéris de leurs passions. […] Arnaud fut autrefois touché de vos raisons pour la justification de la Comédie prise en elle-même, c’est-à-dire indépendamment des secours pernicieux de l’Acteur. […] Premièrement, Monsieur, vous savez mieux que moi que la Peinture est la cadette de la Poésie, et par conséquent qu’elle doit toucher moins sensiblement que son aînée ; et d’ailleurs, quelle idée voulez-vous que réveillent, même dans l’âme d’un débauché, des attitudes toutes modestes.