/ 398
377. (1694) Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie « Réponse à la lettre du théologien, défenseur de la comédie. » pp. 1-45

Je prétends que non : et si je le prouve, il faudra que le Révérend Père tombe d’accord qu’il s’est mépris grossièrement lorsqu’il a confondu nos Comédies avec les divertissements nécessaires pour délasser un Esprit ordinairement appliqué à des affaires sérieuses et importantes ; qu’il s’est oublié lorsqu’il a ditIbid.

/ 398