Cette femme se fût-elle obligée par serment, elle n’est pas moins libre ; les lois réprouvent le serment d’une chose illicite, la peine du parjure ne pourrait tomber que sur celui qui en exigerait l’exécution : « Illicitæ rei jusjurandum servari non oportet ; pœna parjurii in eum convertenda qui exigit. » (L.