Sur qui l’injuste Ciel fait tomber son courroux, A quel affreux malheur ton époux s’expose, Tu le vois accablé, j’en suis seule la cause, Faloit il que l’himen nous unit de ces nœuds, S’il devoit à jamais te rendre malheureux ; Mais je veux te venger du destin qui t’opprime, Vois ce que j’entreprends, reçois-moi pour victime. […] Si ce n’est pas une invention du Gazettier ; il faut que le Directeur des spectacles, qui donnent chaque année quelque sujet de l’Ecriture, soit tombé par hazard sur celui là, sans aucune affectation, & n’ait pas fait attention aux circonstances qui auroient dû la faire suprimer.