Elle est, dit-il, tout à fait scandaleuse et diabolique ; on y voit un enfant mal élevé qui réplique à son père, une religieuse qui sort de son couvent, et à la fin ce n’est qu’une raillerie que le foudre qui tombe sur ce débauché. […] Tombez donc d’accord que Monsieur de Molière ne vous a point donné de mauvais exemple, lorsqu’il a fait paraître un jeune homme qui avait tant d’antipathie pour les bonnes actions.