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42. (1769) De l’Art du Théâtre en général. Tome I « De l’Art du Théatre. Livre second. — Chapitre III. Recherches nécessaires pour s’éclaircir si les Anciens ont connus l’Opéra-Bouffon. » pp. 101-108

Ces Chansons, dont parle Aristote, étaient peut-être des morceaux détachés de quelques Pièces chantantes ; & puisqu’elles étaient obscènes, & qu’elles ont fait naître la Comédie, elles ne pouvaient être tirées que des Drames burlesques, voilà l’Opéra-Bouffon. […] Les ronflemens des Euménides dans la Tragédie de ce nom, devaient être imités par le bruit des instrumens, ou par des tons plus ou moins hauts tirés lentement du gosier, & qui pouvait fort bien avoir été notés par un célébre Musicien.

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